Conférence lors du séminaire
Histoire de la mode et du vêtement
Communication réalisée à l’INHA le 4 décembre 2012 lors du séminaire histoire de la mode et du vêtement – La mode : objet d’études ? (II)
Cette présente communication est une synthèse des résultats d’une recherche qui fut l’objet de ma thèse de Doctorat en Sociologie. Intitulée « Le Mâle du siècle : mutation et renaissance des masculinités », cette thèse avait pour ambition de décrire les effervescences actuelles du masculin, en prenant appui d’une part, sur les représentations stéréotypées de ce genre singulier telles qu’elles se sont données à voir et à penser dans notre société occidentale, et d’autre part sur les constructions archétypales, autrement dit les figures primordiales, qui fondent l’imaginaire occidental de la masculinité et qui tendent à ressurgir dans le paysage médiatique actuel sous des formes symboliques, comme autant de propositions pour des masculinités nouvelles ou résurgentes. Je reviendrais sur cette posture épistémologique particulière (entre sociologie compréhensive, phénoménologie, anthropologie de l’imaginaire et psychanalyse jungienne) et sur les outils méthodologiques utilisés (méthode intuitive, mythanalyse, cosmologie bachelardienne) plus tard dans la discussion.
Conférence lors du séminaire
Histoire de la mode et du vêtement
Communication réalisée à l’INHA le 4 décembre 2012 lors du séminaire histoire de la mode et du vêtement – La mode : objet d’études ? (II)
Cette présente communication est une synthèse des résultats d’une recherche qui fut l’objet de ma thèse de Doctorat en Sociologie. Intitulée « Le Mâle du siècle : mutation et renaissance des masculinités », cette thèse avait pour ambition de décrire les effervescences actuelles du masculin, en prenant appui d’une part, sur les représentations stéréotypées de ce genre singulier telles qu’elles se sont données à voir et à penser dans notre société occidentale, et d’autre part sur les constructions archétypales, autrement dit les figures primordiales, qui fondent l’imaginaire occidental de la masculinité et qui tendent à ressurgir dans le paysage médiatique actuel sous des formes symboliques, comme autant de propositions pour des masculinités nouvelles ou résurgentes. Je reviendrais sur cette posture épistémologique particulière (entre sociologie compréhensive, phénoménologie, anthropologie de l’imaginaire et psychanalyse jungienne) et sur les outils méthodologiques utilisés (méthode intuitive, mythanalyse, cosmologie bachelardienne) plus tard dans la discussion.
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Bibliographie
HOBSBAWM Eric J, L’Age des extrêmes. Histoire du court XXème siècle, Paris, Complexe, 1999, p.434.
JUNG Carl Gustav, L’Homme et ses symboles, Paris, Robert Laffont, 1994, p.61.
MAFFESOLI Michel, Eloge de la raison sensible, Paris, La Table Ronde, 2005 (1996), p.118.
PARETO Vilfredo, Traité de sociologie générale, Paris, Droz, 1968 (1912).
DURAND Gilbert, Figures mythiques et visages de l’œuvre, Paris, Berg International, 1979.
DURAND Gilbert, Introduction à la mythodologie. Mythes et sociétés, Paris, Albin Michel, 1996.